Parce qu'il a intégré le « crimesoul » de Gengis Khan, qui lui donne de super pouvoirs, Tomoki est vénéré par tous les caïds de l'école du crime dans laquelle il est tombé malgré son tempérament antibelliqueux ! Mais l'ombre rouge lui a interdit de faire usage de son pouvoir - ce qui lui vaut une belle correction en cours de combat. Une nouvelle élève, combative et bien intentionnée, prend alors son parti et fonde le clan des Bolos avec les loosers de l'école. Grâce à ses connaissances mathématiques, Tomoki répare un robot qui sert à tester les élèves : Bolos et vilains s'en tirent ex-aequo. Tous vont partir sur Bigap'eule, où l'ombre rouge attend Tomoki. Dans les pages qui adoptent la composition survoltée du manga, la surabondance des codes visuels surcharge le scénario, difficile à suivre en raison des nombreuses ellipses et des signes de suppléance incompréhensibles, surtout dans les scènes de combat ou d'effets sonores. Mais il y a fort à parier que les préados vont adorer cette école des « crados » où la violence fait figure de vertu, et se passionner pour le sort de Tomoki qui prend un tour nouveau ! (source : les-notes.fr)